Sous la sévérité peut-être exagérée de l’historien de sa mère, cette princesse se plut à reconnaître le cœur toujours ému et toujours respectueux du peintre des malheurs de sa maison royale, le Van Dyck de ces autres Stuarts.
Sous la sévérité peut-être exagérée de l’historien de sa mère, cette princesse se plut à reconnaître le cœur toujours ému et toujours respectueux du peintre des malheurs de sa maison royale, le Van Dyck de ces autres Stuarts.