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159. (1910) Rousseau contre Molière

Qui est-ce qui empêche les mères de les élever comme il leur plaît ? […] Si l’homme doit lui plaire à son tour, c’est d’une nécessité moins directe ; son mérite est dans sa puissance ; il plaît par cela seul qu’il est fort. […] La femme doit être quelque chose qui plaise à l’homme. […] Voilà la mesure juste, qu’il ne s’agissait que de trouver, guidé par ce principe : plaire à son mari, ne pouvoir plaire qu’à son mari. […] Sophie ne sera pas instruite, mais elle sera éduquée et elle le sera conformément à mon principe : plaire à son futur mari, ne plaire qu’à lui.

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