Annunzio est né pour de brefs élans lyriques et pour de petits hasards heureux ; il faut placer, très bas encore, mais bien au-dessus de ses romans, les vers où il exprime avec une fougue jeune ce que le critique Chiarini appelle sa « démence aphrodisiaque ». […] Contreforts trop inégaux et placés tout à fait au hasard, diverses théories psychologiques et diverses thèses sociales soutiennent et écrasent chacun de ses livres.