Il était sur les bancs et disputait les premières places avec un autre de ses futurs confrères, alors brillant de promesses, M. de Salvandy. […] De quelque côté qu’on se place pour le juger, je le répète, il y a de la force dans cette réserve. […] Il eut d’abord une modique place dans l’administration de ce bienveillant et universel patron, Français de Nantes, qui, l’ayant aperçu un jour dans ses bureaux, lui demanda : « Que venez-vous faire ici ?