Je retourne le feuillet, et je lis à la page suivante cet autre dizain, non moins égayé, mais qui est de Marot : May bien vestu d’habit reverdissant, Semé de fleurs, ung jour se mist en place, Et quant m’amye il vit tant florissant, De grand despit rougist sa verte face, En me disant : Tu cuydes qu’elle efface A mon advis les fleurs qui de moy yssent ? […] La protectrice de Bonaventure des Periers, la reine de Navarre, y tient une grande place. […] Cigongne contient aux dernières pages une pièce qui rappelle un peu, pour le motif, la chanson de l’Arioste, mais qui va fort au-delà ; elle trouverait sa vraie place dans un Parnasse satyrique.