/ 2218
706. (1895) La vie et les livres. Deuxième série pp. -364

Saint Yves n’avait qu’à dire un mot, et aussitôt les arbres, coupés au pied, repoussaient, chargés de branches et d’oiseaux. […] Les jolies mines, riantes et futées, les fins petits pieds agiles et bondissants comme des pattes d’oiseaux ! […] Cet horizon immense, il s’en est emparé ; ces « mortels » dont à peine il voyait à ses pieds les demeures, il sait leur histoire par le menu. […] Il y a, dans ce jardin, comme une odeur diabolique et, dans les allées, sur le sable, la trace fréquente d’un pied fourchu. […] Une esthétique orgueilleuse l’a prosterné au pied des autels.

/ 2218