il faut aimer diablement un homme pour se fourrer les pieds dans les sabots en plomb d’une traduction ; et ce traducteur, au lieu de nous donner la traduction intégrale de la correspondance d’Horace Walpole, ne nous en donne qu’un fragment. […] Cette goutte, qui le prit de bonne heure comme Pitt, et l’envahit des pieds aux mains, n’empêcha que fort peu sa main d’écrire.