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362. (1891) La vie littéraire. Troisième série pp. -396

Mais je n’y suis jamais entré ; j’ai eu peur de poser le pied sur cette base qui engloutit tout ce qu’on y met. […] Notre âne avait les quatr’ pieds blancs. […] Tout à coup elle découvre dans une vitrine un petit pied de momie, un pied de femme. […] Ce sont les pieds qui montent. […] Or, l’ombre d’un pied sur le mur l’a embrasé d’amour.

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