Coppée : « le plus grand lyrique de tous les siècles » ; et c’est le premier reproche que j’ose faire à cette courte Préface, de mettre ainsi sous les pieds d’Hugo tous les siècles et tous les poètes. « Le plus grand lyrique de tous les siècles ! […] J’aimerais mieux, sans doute, par un effet d’une ancienne habitude, que ces vers n’eussent que douze pieds, comme les autres vers, mais je ne puis méconnaître qu’il y ait là quelque chose d’assez original, dans son affectation de simplicité.