ce sont eux, les partis vaincus, qui ont fait le succès d’Augier, avec leurs misérables cris d’écorchés sitôt qu’on les touche ; ce sont ceux auxquels il a consacré sa pièce. […] Mais l’idée et le canevas de cette pièce, qui, comme toutes les comédies politiques, a le tort de n’être qu’un pamphlet d’occasion, n’appartiennent pas plus à Émile Augier que ses personnages.