Il ne s’en servait que comme d’une distraction, mais son génie éteint dans ses larmes se retrouvait tout entier dans ses pièces. […] Jamais pièce n’a été plus malheureusement reçue que celle-là, et aucune de celles de Molière ne lui a donné tant de déplaisir. […] Cependant on joua cette pièce pour la seconde fois. […] Molière lui demanda ce que l’on disait de sa pièce. […] Cette pièce est, de toutes les pièces de Molière, la plus fortement écrite.