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449. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Première partie. Écoles et manifestes » pp. 13-41

Une rhétorique nouvelle enseignait à ménager d’habiles transitions, en sorte que la fin de chaque phrase en détruisit le commencement. […] L’artifice des phrases ne doit pas nous induire en erreur. […] Le Blond s’enthousiasme pour cette phrase de M. de Bouhélier : « Une auberge embaumée et blanche, crépie à la chaux poudreuse sous les roses ; un moulin dont les ailes battent les eaux (!!!)

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