Le prince de Ligne devait avoir de ces phrases quand il s’était commis avec une « espèce ». […] Dès qu’une phrase était achevée, le conférencier s’arrêtait, avalait un verre d’eau, souriait en regardant l’auditoire. […] Depuis longtemps, on les mène avec de grandes phrases, comme on les menait jadis à coups de bâton. […] Il ne cherche pas à étonner le lecteur, à l’éblouir par de belles phrases et par de savantes analyses. […] Puis, il reconnut certains mots français ; il devina qu’ils parlaient de femmes et de chevaux, sans bien savoir quelles phrases s’appliquaient aux chevaux et quelles phrases aux femmes, car ils les traitaient avec la même tendresse et la même grossièreté.