Mais ce qui s’adresse à nous, c’est la phrase qu’il avait écrite sur la mort de son cousin, le lieutenant de Cissey : A la mort des saints, il convient de chanter le Magnificat. […] C’est peu de jours après que cet enfant écrivait à sa mère cette phrase d’une intensité de romanesque si profonde : « Crois-tu que les soldats de Napoléon aient souffert autant que nous ?