Voilà l’apport dans nos mœurs de la philosophie et de la littérature étrangères et surtout des interprétations que nous en avons faites. […] Lucien Corpechot a écrit un bon chapitre de la philosophie de l’art en France. Le danger, pour un tel ouvrage, c’est de s’apparenter beaucoup plus à la philosophie qu’à la critique esthétique. […] Son existence est fort bien réglée au service de la philosophie. […] (Dans l’opposition de ces deux mots tient toute sa philosophie.)