Ce livre, en effet, s’annonçait comme une large composition d’histoire littéraire et de critique, dominée par une philosophie, — ou comme parle l’auteur, et nous aimons ce langage — par une théodicée, il devait donc être cela, — purement et doctement. […] Nettement devait tirer de la théologie, qui est la véritable philosophie catholique, tout un système d’idées qui aurait été le criterium de sa critique, la législation même d’après laquelle, comme critique et comme historien, il allait juger. […] La Philosophie est plus heureuse. La Philosophie a son esthétique. […] Nettement, c’est-à-dire d’un adorateur du Dieu personnel de la croix, le spiritualisme de la Philosophie avec sa Providence sans visage pouvait jamais constituer un titre de gloire à quelqu’un !