Tant qu’il n’y a eu que chute, catastrophe, anarchie universelle, on a eu du bon sens, de la philosophie, et quelques-uns même du courage ; après la première secousse, qui a été rude, on ne s’est pas trop abandonné, on est revenu à soi et on a donné la main à d’autres ; on a travaillé à remettre la société à flot et à s’y remettre soi-même. […] Je connais des hommes d’une nature sociale heureuse et d’un bon sens bien tempéré qui ont peut-être retrouvé leur philosophie dès le soir même.