Jésus, en effet, ne pouvait accueillir l’opposition avec la froideur du philosophe, qui, comprenant la raison des opinions diverses qui se partagent le monde, trouve tout simple qu’on ne soit pas de son avis. […] Un philosophe critique eût dit à ses disciples : respectez l’opinion des autres, et croyez que personne n’a si complètement raison que son adversaire ait complètement tort. Mais l’action de Jésus n’a rien de commun avec la spéculation désintéressée du philosophe.