Aujourd’hui comme jadis, il me paraît très profond le mot de l’homme que j’ai le plus estimé, de ce Franz Wœpke qui disait : « J’ai pris la vie par le côté poétique. » Sous le nom de Paul, dans les Philosophes classiques 2, puis dans le musicien du dernier chapitre de Graindorge, et ailleurs encore, bien souvent, j’ai décrit cette résignation, ce calme, cette politesse, ce labeur désintéressé. […] Résolument hostile à toute nuance de protestantisme, je suis, pour ma part, complètement opposé à ces manières de voir du regretté philosophe, mais je me suis proposé ici de les exposer et non point de les réfuter. […] Le Paul des Philosophes classiques a été, au témoignage de Taine, peint d’après Vacherot.