Un acte de dureté envers son mari aggrava cette répugnance, des sévérités personnelles l’envenimèrent ; elle ne sut jamais haïr, mais elle sut s’éloigner. […] « Madame Récamier ne se dissimula pas que la malveillance et le ressentiment personnel de l’Empereur à son égard avaient contribué au refus du secours qui aurait sauvé la maison de son mari.