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1070. (1895) Les mercredis d’un critique, 1894 pp. 3-382

Je dispenserai le lecteur de ce banal exercice de rhétorique en lui disant que Myrrha est une œuvre toute personnelle et qui porte, partout en elle, la marque de son auteur. […] Écrit avec un rare souci de la perfection, ce livre contient plus d’observations réelles, plus d’idées neuves et personnelles qu’il n’est d’usage aujourd’hui. […] Quand j’ai lu ce roman pour la première fois dans la Revue de Paris, c’est le roman lui-même qui m’a captivé ; sous sa nouvelle forme de livre, c’est par le détail, les observations ingénieuses, une façon particulière et personnelle de voir les choses qu’il m’a charmé. […] messieurs, répondait-il à ses interrupteurs, j’ai quitté et pris le pouvoir plusieurs fois dans ma vie, et je suis pour mon compte personnel profondément indifférent à ces vicissitudes de la vie politique. […] Aussi n’eûmes-nous de repos que lorsque tout le personnel du château se fut porté aux diverses portes du parc, pour les ouvrir aux soldats isolés, dispersés, menacés de massacre.

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