Mieux que personne il eût pu vous dire que, dès la fin du moyen âge et pendant les préludes de la Renaissance, des rythmes ingénieux étaient déjà trouvés et employés, que nous possédions la ballade de Villon, le rondel de Charles d’Orléans, le virelai d’Eustache Deschamps, le cantique de Jean Marot, le chant royal et le dizain de Clément Marot, le huitain de Mellin de Saint-Gelais.