Or cet amour-là, étant essentiellement la recherche de la sensation soit qu’on n’y apporte aucun choix, soit, au contraire, qu’on la demande à une créature en particulier, et à celle-là seulement s’accommode, dans le premier cas, avec la plus complète insouciance de la personne, et, dans le second cas, engendre aisément la haine, par la peur d’être frustré. […] La femme qui se déshabille pour se donner à un homme dépouille avec ses vêtements toute sa personne sociale ; elle redevient pour celui qu’elle aime ce qu’il redevient, lui aussi, pour elle : la créature naturelle et solitaire dont aucune protection ne garantit le bonheur, dont aucun édit ne saurait écarter le malheur. » Or, ni M.