Ni pour le docteur Favrot, ni pour personne, l’intérêt, le grand intérêt d’un livre sur les inhumations ne peut être là. […] Et lui, l’homme de science, qui connaît mieux que personne l’incomplet et le hasardé de ces solutions piètrement administratives, il s’en contente à peu de chose près, au lieu d’en démontrer hardiment et rigoureusement l’insuffisance.