Personne n’était sur le pont, ni devant l’octroi. […] Moi, je criais dans l’allée : « Il n’y a personne ? […] … » Mais personne ne faisait attention à mes cris… on passait toujours… et le bruit de la canonnade augmentait. […] Mais personne ne voulait le croire ; il fallut que la tante Grédel me regardât longtemps pour dire : « Oui, c’est lui ! […] » Personne au village ne croyait que j’en reviendrais ; pourtant le bonheur de respirer l’air du pays et de revoir ceux que j’aimais me sauva.