Baudelaire ; ils en feraient volontiers un seul et même poète en deux personnes. […] Il n’y a donc personne à rendre responsable de leur obscurité. […] Souffrance amère pour certaines personnes : ne pouvoir lire — que les autres ! […] Personne ne tient plus à personne. […] Les personnes, à l’usage desquelles sont écrites ces sortes de choses, n’y regardent pas de si près.