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447. (1887) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Troisième série « Henry Rabusson »

Henry Rabusson nous dit de celui de ses personnages qu’il aime peut-être le plus et où je pense qu’il a mis le plus de lui-même : « Maxime avait contre lui d’être un homme du monde et de peindre des hommes du monde — ce qui est pourtant plus intéressant que de peindre des ivrognes. Un critique, ou quelque chose d’approchant, ne lui avait-il pas déclaré net qu’il était impossible de s’intéresser à des personnages qui étaient tous comtes ou marquis ?  […] Rabusson impliquent nécessairement chez les personnages un certain sang-froid, une certaine possession d’eux-mêmes, jusque dans les moments où ils sont le plus émus. […] Oubliez Madame de Givré, écartez Jane Spring, qui me paraît fort embellie ( Dans le monde), et quelques autres personnages un peu convenus, et vous reconnaîtrez que M. 

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