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242. (1864) Études sur Shakespeare

La bêtise même n’est pas toujours un mérite assuré au personnage qu’on en a d’abord affublé. […] Ils oublient la situation du personnage en faveur des pensées qu’elle suscite dans l’âme du poëte. […] Il a suffi au peintre d’établir, entre le personnage et le spectateur, un premier rapport qui ne varie plus. […] La péripétie peut exister pour les personnages, jamais pour le spectateur. […] Le personnage qui fait marcher le drame est aussi celui sur qui se porte l’agitation morale du spectateur.

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