L’essentiel, c’est qu’elle n’aimât point ; c’est qu’elle ne se permît pas l’indécence d’une adoration hors d’âge, qui dérangerait l’idéal de raison et de sens commun que M. de Mouy a dû se faire de cette femme dont Voltaire aurait dit : Qui n’a pas l’esprit de son âge, De son âge a tout le malheur ! […] Eh bien, qu’il veuille bien me le pardonner, je me permets de penser autrement que M. de Mouy !