Nous nous permettons d’en douter. […] Tout ce que je me permets d’opposer seulement à l’enthousiasme de l’auteur des Luttes religieuses au xvie siècle pour la politique de Henri IV, c’est que ce grand pacificateur, qui fit respirer une France brisée et qui n’en pouvait plus, devait finir tout, et qu’il ne finit rien… C’est comme pour les Albigeois.