Il y a en effet, dans le fond de ce cœur, une sorte de bonté et de pureté qui ne permettra jamais à ce pauvre garçon, j’en ai bien peur, de connaître et de condamner les sottises qu’il aura faites, parce qu’à la conscience de sa conduite, qui exigerait des réflexions, il opposera toujours machinalement le sentiment de son essence ; qui est fort bonne. […] Paul de Raynal ; 3e édition : 2 vol. in-18, chez Didier, quai des Augustins, 35. — On me permettra d’ajouter que cette édition a été revue avec un soin tout particulier par le frère de M.