Mais, comme tout le monde, ou à peu près, est d’accord sur ce second point, il est permis de ne développer que le premier. […] Pour moi, dans l’un comme dans l’autre, je sens, si vous me permettez de le dire en deux mots, quelque chose de fin et d’exquis, de net et de dépouillé, — et un peu de tanin. […] En effet, leur tempérament, selon toute apparence, ne leur permettra de produire que des œuvres languissantes, pâles, molles. […] Permettez-moi d’entrer dans quelques détails. […] » Il n’entendit donc sa divine musique que dans son cœur, et encore lorsque les intermittences de la douleur le permettaient.