Maurice, écrit-elle après l’avoir perdu, je te crois au ciel. […] et n’allait plus un seul instant le perdre du regard. […] Je veux porter ce qui aime dans l’autre vie. » L’apaisement gagne à mesure qu’elle sent qu’elle-même s’approche du retour vers le cher absent : Ce grand ami perdu, il ne me faut rien moins que Dieu pour le remplacer, ou plutôt Dieu était là, mais il s’avance dans la place vide.