Ne rêvez-vous pas des déchirements, des blasphèmes, des revanches contre la prière abandonnée, et à travers tout cela l’idée, qui offusque tout dans une âme perdue, de la damnation éternelle ? […] Que cette Religieuse portugaise, trois étoiles d’un Francaleu quelconque, fût une fille perdue par son propre cœur ou qu’elle ne fût qu’une vocation forcée, il importait peu au xviiie siècle !