Elle interrompt le récit, elle glace le cœur, et elle n’amuse pas l’esprit : temps et talent perdus dans les espaces imaginaires. […] ou vous êtes perdus ! […] Je veux voir cette bouche dont un baiser et un oui me rendront heureux à tout jamais, et dont un non peut me perdre aussi à tout jamais. […] Je l’avais tenté autrefois dans le poème des Pêcheurs, à moitié fini et perdu sans retour dans un voyage aux Pyrénées. […] Ne rien perdre de la vie, c’était sa sagesse.