Ils auraient pourtant l’un et l’autre mis au jeu autant de génie, autant de sang-froid, autant d’audace, autant de foi en eux qu’ils en mirent ; mais ils auraient perdu !… Comme si l’on perdait toujours en raison d’une faute ! […] Un homme perd, tombe ruiné : « C’était un grand joueur, un beau joueur ! […] Il a une patrie, il aime mieux tout perdre, il aime mieux périr, que de se dénationaliser, comme le lui proposait le gouvernement mexicain. […] Il ne se fit envahisseur, il ne songea à être conquérant qu’à la dernière extrémité, quand on l’eut indignement trompé et que tout fût décidément perdu si le lion enfin ne s’éveillait pas !