De même, quand nous raisonnons sur nos propres actes, nous avons également un guide certain, parce que nous avons conscience de ce que nous pensons et de ce que nous sentons. […] Je pense qu’il n’y a pour l’esprit qu’une seule manière de raisonner, comme il n’y a pour le corps qu’une seule manière de marcher. […] C’est pourquoi je pense qu’il convient d’appeler les sciences physico-chimiques les sciences auxiliaires et non les sciences accessoires de la physiologie. […] Quant à moi, je pense qu’on a ce droit d’une manière entière et absolue. […] Je pense que la médecine ne finit pas à l’hôpital comme on le croit souvent, mais qu’elle ne fait qu’y commencer.