Je ne pense jamais à ce que je vais écrire. […] Pour des sommes très modiques qu’il faut que je gagne, parce que sans cela je mourrais de faim, je ne dis que la moitié du quart de ce que je pense… et encore je risque, à chaque phrase, d’être traîné derrière les tribunaux. » * * * — Une jeune fille de ma connaissance a eu la plus fraîche, la plus délicate, la plus poétique imagination de cœur. […] * * * — Un mot du peuple : A quoi penses-tu ? […] * * * — Il n’est pas impossible que, dans une grande douleur, une femme oublie de penser à la façon de sa robe de deuil. […] Et je pensais très tristement, que si demain Montmartre devenait un Vésuve, et qu’il enterrât sous sa lave Paris, je pensais à l’étonnement des fouilleurs des siècles futurs, quand sortirait de la lave ou de la cendre, le Priapeion célèbre de Paris.