Il pensait par blocs, et nous pensons par morceaux : de là son style et notre style, qui sont deux langues inconciliables. […] Elle ne sait rien de toutes les lois des hommes, elle n’y pense pas. […] Il a chaud, il s’est battu, il a besoin de boire ; il laisse son Volsque à la chaîne et n’y pense plus. […] Et pourtant au bout d’un mois… — Je ne veux pas y penser. […] Quand je pense, je parle.