Les gens sensés et modérés du temps ne pensaient pas autrement. […] J’ai donné ma pièce au public pour l’amuser et non pour l’instruire, non pour offrir à des bégueules mitigées le plaisir d’en aller penser du bien en petite loge, à condition d’en dire du mal en société. […] L’influence de ces sobriquets parmi le peuple est plus importante qu’on ne pense ; ils ne se perdent presque jamais.