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861. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « II. M. Capefigue » pp. 9-45

Ils expriment, chacun à sa manière, et par leur contraste, ce développement fatal et suprême de la Libre Pensée, — la fantaisie, qui se joue de tout, à cette heure, dans les arts, la philosophie et les lettres ! […] … Mon Dieu, la pensée d’un homme défaille comme son âme ! […] Tel, pendant toute sa vie, avait été l’honneur de sa pensée, et voilà ce qui rachetait à nos yeux les défauts d’un écrivain sur lequel notre sympathie ne nous a jamais fait illusion ! […] Capefigue était, du moins pour nous, à une époque où le Scepticisme amollit et détrempe les plus fortes pensées, un historien qui, sur le fonds vital de l’histoire, n’avait pas fléchi, et nous admirions cette tenue. […] Assurément, telle n’a point été la pensée de M. 

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