Éléments et accroissements de la pensée de Montesquieu. […] Ce mot de religion ne doit pas nous tromper sur la pensée de Montesquieu. […] Jamais Montesquieu n’a su composer : sa pensée procède par saillies, non par développement continu. […] Les chapitres y sont des cadres artificiels, des formes, où il réunit autour d’une idée centrale une collection de traits éclatants ou de pensées profondes. […] Et il y avait aussi en lui un causeur brillant, coquet, ne voulant pas en société lâcher un mot qui ne fût une saillie ou une pensée.