L’excès du malheur fait naître la pensée du Suicide, et cette question ne saurait être trop approfondie ; elle tient à toute l’organisation morale de l’homme. […] L’un d’eux a pu défigurer les traits dans lesquels il avait lu de généreuses pensées, l’autre a souhaité de ne plus entendre la voix qui les avait excitées dans son âme ? […] Asham s’aperçut de la direction de mes pensées et tout à coup il prit ma main et la baignant de ses larmes, — Oh vous ! […] Oh mon ami, qu’il en coûte pour creuser cette pensée ! […] La main retient les rênes des coursiers qui nous conduisent, la pensée ne peut conquérir un instant sur la mort.