Il ne songe seulement pas à son style : le mot, chez lui, c’est la pensée ; la couleur, c’est la lumière ; le seul effet qu’il recherche et qu’il obtient toujours, c’est la vérité. […] La pensée qui inspira le livre du Prince à Machiavel, la voici. […] Cette pensée ne fut ni d’un héros de vertu ni d’un monstre de vices ; elle fut tout simplement la pensée d’un commentateur. […] Alfred Mézières, est un des hommes qui ont traduit avec le plus de sagacité la vraie pensée de Machiavel. […] L’une ou l’autre de ces pensées pouvait être politique, aucune n’était italienne.