D’un côté : « … Ces maladies, dit Xavier Aubryet, qui, malheureusement peut-être pour leurs victimes, avivent plutôt qu’elles n’éteignent le foyer de la pensée, comme si le corps en se consumant fournissait plus d’aliments à la flamme intellectuelle. »45 Cette lucidité volontiers s’extériorise, devenant pour le patient sujet délicat et favori de conversation.