» Pensée douloureuse à cet aimable cœur. […] Pensée attristante ! […] Et, tout pâle d’avoir eu la pensée de le contrarier, M. […] Il semble que cette pensée, « Je me damne », lui soit un aiguillon voluptueux : Satan est sa cantharide, à lui ! […] Que nulle raison de convenance ou de reconnaissance n’altère jamais l’expression de la pensée.