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2003. (1878) Nos gens de lettres : leur caractère et leurs œuvres pp. -316

» Pensée douloureuse à cet aimable cœur. […] Pensée attristante ! […] Et, tout pâle d’avoir eu la pensée de le contrarier, M.  […] Il semble que cette pensée, « Je me damne », lui soit un aiguillon voluptueux : Satan est sa cantharide, à lui ! […] Que nulle raison de convenance ou de reconnaissance n’altère jamais l’expression de la pensée.

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