Non, ma divine sœur, je ne vous cacherai aucune de mes démarches, je vous avertirai de tout ; mes pensées, le fond de mon cœur, toutes mes résolutions, tout vous sera ouvert et connu à temps. […] Mais l’élan ne se soutient pas ; le style fait défaut, et la pensée se fatigue à vouloir s’élever et à remplir un rythme incomplet, mais encore trop large pour elle. […] La pensée est ravie au-delà ; l’humanité est dépassée.