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8. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Seconde partie — Section 13, qu’il est probable que les causes physiques ont aussi leur part aux progrès surprenans des arts et des lettres » pp. 145-236

On n’a gueres vû même dans cette province qu’une peinture morfonduë. […] Il semble que la poësie ne craigne pas le froid autant que la peinture. […] Depuis long-temps on y cultivoit l’art de la peinture. […] La destinée de la sculpture fut la même que celle de la peinture. […] Mais la peinture ne s’étoit pas soûtenuë jusqu’à lui.

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