Il qualifie quelque part cette peinture des Italiens modernes d’un seul mot : « On dirait de la peinture d’ennuyés. » Ici il en cherche la cause : J’y ai cependant fait une observation que je ne peux m’empêcher de vous communiquer, celle de n’y avoir trouvé aucun tableau un peu original : tous ne sont que de faibles réminiscences des ouvrages anciens et modernes, et rien de véritablement senti sur la nature. […] Il me semble que la peinture vieillit. […] Ce qui frappe et touche dans la peinture est un caractère d’énergie, de force dans les hommes, et de sensibilité, de douceur dans les femmes. […] Je m’y livre entièrement et sans raison quelquefois, car la peinture doit être faite plus simplement. » On aurait pu lui appliquer ce qu’il disait d’un grand peintre contemporain qui n’en finissait pas, et ne parvenait jamais à se satisfaire. […] Tout en trouvant cette peinture ridicule, absurde et prétentieuse, il y a, à mon sentiment, quelque chose à y prendre.