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253. (1864) Le roman contemporain

Cette allégorie perpétuelle ajoutait un charme particulier à cette peinture de la vie polie. […] La peinture du caractère de Fernand est une remarquable étude psychologique. C’est, à certains points de vue, la peinture d’un âge, et, à d’autres, la peinture d’une âme, parce que les défauts de cet âge prennent un caractère profond d’individualité. […] On n’y trouve pas la peinture de caractères vrais, de sentiments réels. […] Ici vient une peinture dramatique et belle, quoique forcée, comme tout ce qui sort de la plume de M. 

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